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 Forgotten Knights

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AuteurMessage
sangoku-lesinge

sangoku-lesinge


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MessageSujet: Forgotten Knights   Forgotten Knights Icon_minitimeVen 18 Mai - 11:13

Yop mes petits BAY ^^ je vous dévoile en exclusivité mon histoire, je la trouve sympa, mais pas super, j'aimerai avoir votre avis. :p
Me faudrait aussi un graphiste. ^^

Forgotten Knights Miniforgottenknightwv0

Forgotten Knights

« La dernière bataille de Nambarda »


En l’an de grâce 1258, le royaume de Nambarda est ébranlé par la guerre, des tribus de barbares, de mercenaires parsèment les bourgs, ne laissant qu’un petit tas de cendres fumants à la place de ce qui essayait de vivre en paix en ces temps de terreur…
L’armée royale est en déroute, l’union des renégats du nord et les assauts répétés des troupes de Necrotée, la semeuse de morts à l’ouest ont décimé le gros des hommes vivants, soldats ou simples paysans, la fin est proche, le roi ne pourra tenir face à une attaque coordonnée des assaillants….

Tous les hommes valides sont réquisitionnés, pour la dernière bataille, « le baroud d’honneur », quitte à mourir, autant causer le plus de pertes à nos ennemis… Voilà les paroles du roi qui demeure au château, et qui prend toujours part au combat, un redoutable guerrier de force inégalée dans le royaume, sa force lui vient de son arme enchantée par le tonnerre et le feu, les ombres et la glace, l’air et l’eau, «Elementalia», l’épée du néant, née en même temps que la naissance de l’univers et liée par la mort à son porteur, on dit qu’elle anéantira les êtres impurs si le roi venait à trépasser.

Mohan est un jeune homme qui vient d’entrer dans l’armée, il sait à peine manier l’épée, la lance et l’arc, mais c’est un brillant tacticien et un roublard émérite, il est décidé à vivre, le serment de vie, qu’il fit devant témoins, ceux de sa famille, l’enverra dans un outre-monde bien pire que l’enfer ou il subira bien pire que des tortures, une solitude éternelle, être séparée de ceux qui comptent pour lui.
Les cors résonnent, le roi et les recrues combattent à l’ouest, les cavaliers retarderont les mercenaires du nord…

Devant le château, les hommes sont prêt, la nuit est tombée, les visages sont éclairés par les torches, l’atmosphère est sombre, et au loin déjà sonne le glas, la fin est proche, on entend les sombres troupes nécrotéennes qui approchent, guerriers de la pire engeance qui soit, mais redoutablement forts, même le roi ne peut le nier…
Il est temps, les deux armées se font face, la plaine est dominée par l’imposante demeure fortifiée, qui assurera un appui de frappe à distance aux assaillis, mais tout le monde le sait, cela ne suffira pas…

Le cor d’attaque sonne, les hommes se jettent, le fracas des premiers coups résonne dans la nuit, les cris des blessés sont inaudibles et seule la mort daigne à les écouter… des éclairs, tantôt brulants, tantôt glacés, ou ténébreux encore jaillissent de l’arme unique du roi, qui se défend vaillamment contre la horde de bêtes de sang qui n’attend qu’une chose, se nourrir de sa chair.

La commandante en chef de l’armée ennemie s’approche alors, les combattants s’écartent alors, et une incantation incompréhensible sort de sa bouche, un démon des bas-fonds apparait alors sur le champ de bataille, il fait bien la taille d’un géant, même de deux… d’un coup de hache enflammée, il réduit le château en miettes, puis disparait à son tour, terrassé par «Elementalia ».
Le roi est extenué, entaillés à de nombreux endroits, il sait qu’il ne verra pas l’aube d’une nouvelle journée, un coup à droite, une flamme brûlante à gauche, mais c’est alors qu’il est frappé dans le dos par un simple laquait nécrotéen, qui cri victoire, mais son cri de joie se transforme en stupeur, le roi meurt, son arme l’accompagne, le mal est fait, les éléments se déchainent alors, ne laissant rien survivre, même la commandante adverse, pourtant experte en nécromancie de niveau supérieur est incapable de résister, elle est trop impure pour être épargnée, et d’ailleurs, tous ceux qui ont un jour utilisé une arme, sont considérés comme non dignes de vivre par l’arme sacrée…
Le combat est fini, le roi a failli, les renégats du nord ont vaincu, même si les forces nécrotéennes, réputées pour être les plus puissantes de ce monde ont été anéanties…
Et dans l’aube, adossé à une vieille catapulte inutilisable, Mohan contemple le soleil se lever, et agonise en silence en observant ce qui est probablement la fin des mondes de paix, il est temps de rejoindre le néant de ceux qui n’ont même pas été capables de tenir le serment le plus simple qui soit...

« Aux diables aillent les guerriers, les rois et les serments, ils ne font que donner l’illusion de force, car devant la mort, nous sommes tous égaux » furent ses dernières pensées, qu’il repose en paix maintenant, le dernier homme de Nambarda…

« La quête d’Elementalia, l’épée de la nuit des temps »
Nambarda, an 1245.
Dans le village, les rumeurs couraient. On disait qu’un homme étrange était arrivé au château, un vieux mage à l’allure peu courante, un diseur de bonne aventure comme les mauvaises langues daignaient à le surnommer. Son désir était de rencontrer le roi, ce que bien sûr, les gardes du donjon n’avaient pas permis, ils en voyaient un nombre incalculable, des types comme lui.
Mais malgré l’interdiction, l’homme persistait, si bien que les soldats n’eurent point d’autre solution que de le mener dehors par la force.
Par la plus étrange coïncidence, le roi rentrait justement de campagne, les troupes nécrotéennes avaient tenté d’envahir le royaume par l’ouest, une attaque brisée encore une fois par l’intelligence de cette jeune personne, aussi habile pour la stratégie que pour l’art du combat.
Alors qu’il rallait le château par la grand rue, un villageois l’interpella, allait-il demander quelques vivres pour tenir jusqu’à l’an prochain ?
Villageois : Messire ! Hâtez vous, un vieillard est au château, il possède quelque chose de très précieux, je l’ai croisé il y a quelques minutes à peine, je pense que c’est quelque chose de sérieux, et non pas une mauvaise farce.
Le roi s’arrêta quelques instants, remercia le villageois pour son information, lui offrit quelques pièces d’argent que le bonhomme accepta sans broncher, puis reprit tranquillement sa route, appuyant un peu plus fort de son pied le flanc gauche de son cheval, un magnifique pur sang au poil noir d’ébène. Les hautes tours se dressaient à quelques centaines de mètres, le fanion rouge, emblème de Nambarda, flottait fièrement, symbole des victoires du temps jadis. Le soleil, auparavant camouflé par les noirs nuages, resplendissait maintenant, se reflétant sur les pierres grises de la façade de l’immense forteresse, réputée imprenable, de par sa construction, sa situation, mais aussi par les mystérieux chevaliers qui la protègaient. On se savait combien ni qui ils étaient, mais leur évocation seule remplissait le cœur des gens d’une admiration sans limite pour ceux qui avaient maintes fois repoussé les pires abominations.

Vieux mage : Il me faut à tout prix voir le roi, j’ai quelque chose d’important à lui donner, je vous le jure, ne me forcez pas à utiliser ma magie pour pouvoir le rencontrer.
Les paroles du vieux, hurlées avec force, alertèrent encore plus le cavalier, qui redoubla d’intensité dans ses coups de talon. Enfin, quand il estimait être arrivé à distance respectable, il s’écria.
Roi : Gardes, relâchez immédiatement cet homme, j’aimerai pouvoir m’entretenir avec lui et écouter ce qu’il a à me dire.
Sur ces simples paroles, les soldats, auparavant narquois, se firent de marbre et relâchèrent l’homme, qui vint se placer devant la monture du jeune souverain.
Vieux mage : Messire… J’aimerai vous parler, mais seul à seul, car à vous seul importe le choix que vous allez faire après m’avoir écouté.
Tous deux s’installèrent donc dans la salle des négociations, sans fenêtres et possédant une seule entrée, dont seul le roi détenait la clé. Cette salle était particulière, car contrairement aux autres pièces du château, qui rivalisaient d’ornements, de vases précieux, de tapis dorés, celle là n’était aménagée que d’une table et de quatre chaises, ainsi que de nombreuses grandes chandelles, qui illuminaient le lieu d’une lumière vive et presque agressive.
Quand le vieil homme fut certain que seul le roi pouvait l’entendre, il chercha quelque chose dans sa grande robe, et en sortit deux objets : Un petit parchemin et une chose blanche ressemblant à un caillou. Il les posa sur la table et commença à s’exprimer.

Vieux Mage : Je me nomme Efhar, je suis un des plus anciens membres de la communauté magique de Nambarda, et après des dizaines d’années de recherche, nous avons enfin trouvé ces trésors. Vous semblez douter quand je dis que ces choses sont des trésors ? je vous l’assure, ils sont bien plus précieux que tous ce que vous possédez. Tout d’abord cet écrit, prenez et lisez attentivement.
Le roi ramassa le minuscule rouleau, le déroula soigneusement et commença sa lecture. Quatre phrases en vers, dont le sens était obscur.

« Quand les temps n’étaient pas
La vie cherchait sa voie
Elle fut crée pour un roi
Sur l’île sombre demeura »
Malgré son esprit aiguisé et sa grande culture des légendes anciennes, le roi ne comprenait pas le sens de ces mots, mais sans doute le mage avait la réponse.
Efhar : Cela vous’intrigue, n’est ce pas, sire Othar ? à vrai dire c’était aussi le cas pour moi, jusqu’à ce que par le plus grand des hasards, alors que je voyageais sur la mer Tharal, qui borde la frontière entre la Nécrotée et notre royaume, j’ai entraperçu au loin une petite île plongée dans les ténèbres. Le plus étrange, c’est que c’était par un jour ensoleillé, ce qui ne fait que confirmer les propos de ce manuscrit.
Othar : Et cette « pierre, à quoi sert-elle ?
Efhar : C’est bien plus qu’une simple pierre, nous l’avons trouvé alors que nous cherchions un autre artefact, cette chose était dans un petit coffre prêt du site, et sur son couvercle les inscriptions parlaient elles aussi d’une île sombre.
Othar : Et sur cette île sombre, qu’il y a-t-il de si précieux pour que tu viennes me voir en personne ?
Efhar : il y a une arme, une épée… Nous l’appelons « Elementalia », car elle renferme tout ce qui peut donner la vie et la reprendre, le pouvoir des éléments. Il ne faut pas que les nécrotéens l’obtiennent, sinon le royaume tombera encore plus vite que prévu… (il voit son erreur, et change de sujet) Ainsi je suis venu te demander de partir à la recherche de cet artefact. Pars avec ton armée et toutes les forces dont tu disposes, car il est certain qu’il faudra se battre, avec nos ennemis de toujours ou avec les protecteurs de l’île… Une telle arme ne s’obtient pas facilement.
Othar : C’est décidé, je vais partir à la recherche de cet arme, et je la brandirai devant mes ennemis, j’en fais le serment.

La conversation se termina alors. Trois semaines plus tard, Presque tout Nambarda était réuni pour voir le départ des troupes, 6000 hommes robustes, la moitié des soldats disponibles. C’est peu, mais la plus grande partie de l’armée est au nord et contient les assauts des renégats, des barbares féroces qui veulent anéantir toutes formes de paix. Le roi Othar est entouré par ses chevaliers si réputés, les protecteurs du château. Ils sont 25, et personne ne connait leurs véritables visages, en permanence couverts par un heaume noir.
Le signal du départ retentit ,le long cortège s’en va lentement, laissant femmes et enfants derrière eux, sans savoir qu’ils vont livrer leur dernière bataille dans cette quête démesurée faîte pour le désir d’un seul homme.
Leur destination est le port de la mer Tharal, mer contrôlée par les nécrotéens.
Après plusieurs jours de marche, les troupes embarquent enfin, le soleil n’a pas quitté le roi depuis son départ, le temps est idéal pour naviguer.
C’est une flotte d’environ 550 bateaux qui prend le large, trouver une île, même facilement repérable, est une tâche ardue dans une mer immense comme Tharal.
Les hommes sont sur les flots depuis trois jours, la nuit est tombée depuis longtemps, la mer est calme et le clair de lune trace un chemin hâlé, qu’Othar a demandé de suivre, persuadé que c’est un signe. Mais au loin, une centaine de navires rouges s’avancent, les nécrotéens avaient eu vents de l’expédition du roi, et voulaient empêcher la flotte d’atteindre son but. Heureusement, les vigies veillaient, et le cor d’alerte ne tarde pas à résonner. Cette bataille là dura toute la nuit, ce fut un véritable massacre, près d’un tiers des soldats nambardéens ont péri, alors qu’ils avaient l’avantage du nombre.

Le jour se lève lentement, le roi est épuisé, il a lutté comme un beau diable toute la nuit avec sa garde rapprochée. Mais soudainement, il s’exclame et se met à crier avec forces.
Othar : L’île !!! C’est elle ! changez le cap, nous y sommes finalement parvenu !
Les navires accostent sur l’île sombre, la légende était vraie, les rayons du soleil n’atteignaient pas cet endroit, la visibilité en était réduite. Mais on y voyait suffisamment pour apercevoir une petite bâtisse au loin, derrière une étendu de sable, rien d’autre à l’horizon, c’était encore trop simple. A peine les soldats avaient fait quelques pas sur le sable que de très nombreux soldats morts-vivants surgirent, comme si ils avaient attendu ce moment depuis une éternité, et qu’ils avaient perdu leurs vies dans cette attente. Entre le roi et le bâtiment, il y avait bien 900 mètres, et au moins 300 mètres recouverts de monstres à traverser. Pour leur faible nombre, c’était impossible, le roi ne l’ignorait pas. Egoïste, il lança ses troupes à l’assaut, contournant les ennemis avec ses chevaliers, pendant que ses sujets perdaient la vie. Enfin il arrivait devant cet endroit qu’il avait vu dans ses rêves de gloire. Un temple scellé, possédant un emplacement pour une clé, et cette clé, le roi l’avait en sa possession. Il inséra l’objet blanc dans ce qui semblait être une serrure. La porte du temple s’ouvrait lentement, trop, produisant un bruit considérable qui alerta les morts, qui avaient décimé la totalité des forces humaines. Ils se ruèrent sur les humains, quelques centaines de mètres et c’en était fini des ambitions d’Othar.
La porte s’était finalement dérobée dans sa totalité, la fidélité des chevaliers poussa le commandant à déclarer solennellement.
Commandant des chevaliers : Sire, allez-y, nous les retenons, nos vies sont vôtres, votre désir est nôtre, tant que nous vivrons, aucune de ces créatures ne pénétrera dans ce lieu.

Le roi acquiesça lentement d’un signe de tête, puis s’engouffra dans le temple, entendant encore la lutte désespérée de ses meilleurs combattants.
Et elle était là, posée sur un autel… plus somptueuse qu’il ne l’avait imaginé, plus attirante que tous les trésors terrestres… Elementalia. D’un geste il la saisit. Elle était légère, très maniable, une étrange sensation l’envahissait, il se sentait puissant, il leva sa nouvelle épée, et un flash lumineux l’aveugla soudainement… Plus de temple, plus d’île, plus de morts-vivants… Il était au château, sous les regards médusés des courtisans, des domestiques, et D’Efhar, qui souriait, comme pour se féliciter d’une quelconque réussite.

« Quant à nous… certains de nous ont survécu, les morts avaient subitement disparus, et quand nous sommes allés voir ce qu’il était advenu de notre roi, il n’y avait plus rien… Nous avions compris, il s’était joué de nôtre fidélité et s’était enfui avec l’arme sacrée. Nous sommes devenus des fantômes, et nous errons toujours dans ce monde, en quête de l’honneur qui nous a été dérobé, nous avons notre place dans la légende, à nous de la regagner.
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